URBAIN Jean

Cindré

Jean Urbain
Jean Urbain

Agé de 29 ans (classe 1905) lors de l’entrée en guerre, Jean- Baptiste Urbain (voir photos), alors cultivateur sur la commune de Cindré, est incorporé au 299e régiment d’infanterie. (voir registre matricule et son livret militaire).

Pendant la guerre il écrit à sa femme Anne et à ses deux enfants Jean et Anne-Marie. (voir correspondance)

Blessé à l’épaule par des éclats d’obus au fort de Vaux le 24 octobre 1916, il devra porter une épaulière (voir le livret d’appareillage). Admis à la retraite et touchant une pension (voir la pension pour blessure), il devient facteur rural au titre des emplois réservés aux invalides de guerre (voir sa convocation). Il ne survit pas longtemps à la fin de la guerre, la tuberculose l’emporte le 17 mai 1919. Sa veuve, comme beaucoup d’autres, a bien du mal à faire reconnaître la mort de son mari comme consécutive de ses blessures de guerre (voir courriers).

Livret militaire de Jean Urbain
Livret militaire de Jean Urbain
Correspondance de Jean Urbain avec sa famille
Correspondance de Jean Urbain avec sa famille
Livret d'appareillage de Jean Urbain
Livret d'appareillage de Jean Urbain
Documents relatifs à la pension pour blessure de Jean Urbain
Documents relatifs à la pension pour blessure de Jean Urbain
Convocation de Jean Urbain pour l'emploi réservé de facteur
Convocation de Jean Urbain pour l'emploi réservé de facteur
Courriers de la veuve de Jean Urbain visant à faire obtenir des secours en faisant reconnaître les blessures de son mari comme des blessures de guerre
Courriers de la veuve de Jean Urbain visant à faire obtenir des secours en faisant reconnaître les blessures de son mari comme des blessures de guerre

👇Archives de Jean URBAIN en format pdf

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